Proposé par Ait Ben Haddou
Marcher à un rythme normal : Bon indice de progression sur la voie que l'on s'est choisie, sauf quand on a rencontré un obstacle majeur. C'est l'assurance d'un joli parcours de vie, d'une réussite en général. Des événements favorables guident les décisions, les choix, les orientations.
Marcher rapidement : RAPIDE - Y a-t-il urgence à atteindre un objectif précis ? Sans doute… Que l'on se rassure la chance est avec soi. On concrétise ses projets, privés ou professionnels, dans l'optique voulue.
Marcher avec hésitation, en boitant, en titubant : - BOITER - TITUBER Ses propres hésitations, ses doutes, ses angoisses par rapport à des décisions imminentes nuisent à son évolution. Une partie de la faute nous incombe, une autre partie incombe à des circonstances extérieures défavorables qui amplifient les questionnements. Une période où l'on se sent tirer à hue et à dia est à prévoir accompagnée de soucis financiers, de ruptures, d'ennuis divers.
Marcher sans savoir où l'on va : ERRER -
Marcher à reculons : RECULER - Contrairement à ce que l'on peut penser spontanément, la marche à reculons est une étape nécessaire dans tout chemin de vie. Elle illustre le retour sur soi et en soi et favorise une meilleure compréhension des données, des tenants et des aboutissants de son vécu, une relecture des événements passés pour mieux s'en dégager. Oui, la marche à reculons retarde, en apparence, sa lancée, mais c'est en saisissant cette opportunité que l'on sait éviter de répéter des erreurs.
Marcher avec une canne ou des béquilles : BÉQUILLE - CANNE - Annonce d'une déstabilisation de vie. On ne peut plus continuer à entretenir l'illusion que la chance va sourire au dernier moment. Des complications toujours plus compliquées contraignent à réduire son train de vie. Tracas entraînant des pertes de biens, des pertes amicales, des incompréhensions familiales, dépression, lassitude, maladie possible.
Marcher main dans la main : MAIN - Signe que l'on est soutenu dans son parcours, ses projets, dans la mesure où la personne qui accompagne fait bonne figure, qu'elle est bienveillante. Réussite et satisfactions dans de nombreux domaines.
©Ernie Barnes - 1938-2009
Marcher bras dessus bras dessous : Future réconciliation possible avec un Autre. On peut envisager un nouveau départ sur des bases plus agréables, plus satisfaisantes. Grand soutien affectif, joies sentimentales ou amicales, satisfactions quotidiennes.
Ne plus pouvoir marcher : PARALYSIE - Annonce un arrêt brutal dans ses activités. Un événement fâcheux ramène à d'autres préoccupations et on a à combattre un environnement néfaste. Période difficile et compliquée qui va paraître interminable.
Voir des gens marcher dans tous les sens : FOULE -
Entendre quelqu'un marcher : Des nouvelles importantes et peu agréables vont parvenir. Tensions à venir, la vigilance est à observer.
Marcher au pas : DÉFILÉ - On peut avoir à se débattre avec une autorité quelconque, supérieur, mari pour les femmes, parents, administration, etc., qui bloque ses entreprises et qui cherche à nous figer dans un moule. > Marcher au pas peut révéler le genre de vie que l'on mène. La question est de savoir si on est de nature à obtempérer immédiatement aux desiderata de l'Autre, ou si c'est de soi-même que l'on privilégie le normatif.
Des marcheurs professionnels : SPORT - A noter que les marcheurs sont obligés de se déhancher le bassin pour gagner en rapidité. C'est une marche anti-naturelle et cette dislocation du bassin renvoie naturellement à sa propre dislocation intérieure.-> CORPS -
©Michael Jackson - Neverland inspiré de ©Norman Rockwell
Marcher sur les mains : MAIN - C'est bien, on est souple ! Mais, ici, c'est le signe que l'on espère se reposer sur ses proches, sans trop faire d'efforts…. Désillusions.
Marcher pieds nus ou en chaussettes : PIED - CHAUSSETTES - L'important est de ne pas se faire mal. Se reporter aux rubriques qui correspondent à la matière sur laquelle on a marché : - Sable - Rocher - Plancher - Bois - Herbe - Braises - Verre cassé - Eau - Neige...
Marcher dans le noir : NUIT - OBSCURITÉ - Quand on s'est déplacé avec aisance sans tâtonner, on est assuré de trouver des solutions et sa voie à moyen terme étant donné que le nuit ou le noir impose toujours la patience. > Quand on a tâtonné, que l'on a titubé, que l'on s'est heurter à des obstacles que l'on avait pas vus, le parcours de la vie éveillée est plus ardu et les difficultés plus nombreuses. On a à apprendre à fortifier son discernement et développer tous ses sens si l'on veut traverser ses épreuves sans trop de dommage.
Marcher dans la rue : RUE - AVENUE -
Marcher dans des excréments : EXCRÉMENT - CACA - CROTTE -
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