Désert péruvien
S'y trouver : C'est la description de sa situation actuelle. Tout est vide, creux, désespérant. Aucune solution ne se présente pour annuler des épreuves. Dépression passagère. Au positif, on en profite pour travailler sur son intériorité.
©Friedrich Perlberg - 1848-1821
Le voir seulement : Sérieux avertissement sur "une traversée du désert" à vivre.
Le traverser à pied ou avec un animal : CHAMEAU - Même signification que pour "s'y trouver", à la différence près que l'on est un peu actif. Y a-t-on fait des rencontres ? A-t-on été intrigué par quelque chose dans le paysage ? Si oui, la solution est là.
Le traverser en voiture : VÉHICULE - PANNE - On va connaître encore de grandes difficultés accompagnées de problèmes relationnels, mais comme on roule, - il ne faut pas tomber en panne -, la période contrariée est moins longue que dans les autres cas de figure. > Quand on quitte le désert et que l'on entre dans une ville ou un paysage plus verdoyant, on bénéficie d'une progression matérielle avec, à terme, une chance de reconstruire sa vie, affectivement et matériellement.
Une tempête de sable : SABLE - DÉSERT -
Quelques rappels : Le désert n'est pas toujours de sable, il en existe de glace ou de rocailles. Un détail dans le paysage, forêt ou désert, précise la durée des vicissitudes ou le nombre d'obstacles à franchir. Le Christ, entre autres, s'est réfugié dans le désert pensant qu'il favoriserait le contact avec Dieu. Il y a rencontré le Diable, mais il l'a vaincu. Cette étape est apparemment nécessaire pour prendre conscience de son Divin intérieur, ou de sa nature divine. L'oasis est au désert ce que la clairière est la forêt. Le miracle se produit toujours !
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