 Se cramponner à la jupe de sa mère : À votre âge ?! ... Indications sur une timidité, une réserve, une appréhension face à la vie. On cherche encore un recours maternel ou féminin pour baliser sa vie.
Se cramponner pour ne pas glisser, tomber : Signe d'un petit contre-temps, d'un retard, ou l'indication qu'un Autre nous cherche des noises. On règle ces détails assez facilement. Déception passagère.
Se cramponner pour sortir d'un piège ou d'un trou : On va passer par une période un peu houleuse faite d'embûches, parfois de trahisons. Plus vite, on sort du piège, plus courte est la période.
Cramponner un Autre pour le retenir ou être cramponné soi-même : Signe que l'on a des difficultés avec l'autonomie. On a peut-être aussi tendance à ne se voir que fluidifié DANS un(e) Autre, un travail d'individuation est à envisager pour pouvoir évoluer psychiquement.
Se cramponner à une conviction, une vérité révélée : On peut avoir raison de garder son idée, seul contre tous les autres ET on peut aussi avoir tort. Ce sont les autres éléments du scénario oniriques qui le précisent.
> Dans le premier cas, cette certitude onirique aide à porter un projet dont on est seul à connaître les tenants et les aboutissants et que son entourage ne peut pas évaluer.
> Dans le second cas, le présage illustre ses rigidités intérieures, sa difficulté à lâcher prise.
Se cramponner à un poste de travail : TRAVAIL - On risque de le perdre sous peu.
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©Pierre Probst
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