©Judith Raboczky
Le câble : Il alerte sur sa facilité à se laisser influencer par trop de personnes à la fois, à se laisser envahir par des futilités, les histoires des autres. La distance que l'on doit observer face à toutes formes de négativité est quasi annulée. Forte propension à entretenir la dépression, à voir les choses en noir, au défaitisme. Se laisser submerger par un contexte qui dessert empêche la possibilité de se forger des idées plus personnelles et surtout plus positives. À méditer !
Au positif : le câble relie au monde extérieur. Il ouvre à d'autres formes de vie, élargit son champ d'expériences, il encourage aux contacts. Pour celui qui est d'un naturel plutôt replié sur lui, des événements favorables vont ébranler cette attitude, en douceur. Rencontres très intéressantes avec des personnes qui ont un mode de vie très différent du sien.
Quand le câble nous dessert : Il est préférable d'avoir le réflexe de le couper ou de le débrancher. On va devoir fournir un gros effort d'observation et de vigilance pour gendarmer toutes pensées défaitistes. Le pire n'est pas toujours certain ! On apprend ainsi à éloigner les grincheux, les désagréables, les rabats-joie de la vie éveillée.
Être l'émetteur : On décide soi-même de ce que l'on émet, c'est l'avantage. Mais, et c'est l'inconvénient, on est seul responsable des événements que l'on vit. Il reste à orienter ses pensées ou ses aspirations sur des objets de satisfactions. Celui qui a conservé des colères rentrées ou des rancœurs légitimes, s'épargne d'envoyer des messages de "vengeance" polluant son mental inutilement. Émettre, c'est aussi vouloir attirer une réception, il y a donc réponse, résonance, en fonction de ce que l'on a émis. Action-Réaction ! Plus les idées émises sont positives, plus le retour est favorable. Le message de réception est à écouter, il donne de précieux conseils pour orienter son avenir.
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