Survoler le monde : PAYSAGE - ENVOL - On va mettre tout en oeuvre pour que son quotidien subisse des transformations de fond afin d'être plus libre, en éloignant les exigences d'autrui et les charges qui appartiennent aux autres et qui freinent inutilement. Des opportunités se présentent pour faciliter la tâche, mais les orientations que l'on prend vont souvent à l'encontre de l'assentiment de son entourage immédiat. > Quand, par nature, on est porté sur les choses irréalisables, que l'on privilégie l'illusoire à la réalité jugée trop terne pour soi, alors voler ou avoir la sensation de voler conforte les chimères et on n'arrive à rien ! > Le paysage survolé est à retenir car il définit une globalité, un contexte de vie large et accessible qui donne quelques renseignements utiles sur sa voie à long terme. Ils sont précieux étant donné que dans la vie courante, on ne connaît que partiellement ce à quoi on peut prétendre.
Survoler un livre, une lettre : LETTRE - LIVRE - FEUILLE - LIRE - Si survoler un paysage offre l'opportunité de prendre de la hauteur par rapport aux contraintes terrestres et ses limitations de vie, en revanche survoler un écrit peut, dans certains cas, dénoncer la superficialité du caractère. > Quand un mot précis a attiré l'attention, NOM - ÉCRIT - MOT - il contient de fait une information essentielle pour son parcours de vie.
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©Léonid Baranov - 1943-...
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