Courir après un Autre : On cherche à percer le mystère d'un problème auquel on se trouve confronté sans comprendre.
Un Autre nous court après : Il est préférable de ne pas être rattrapé. Ce type de scénario illustre son propre sentiment sur ce que l'on vit à savoir que l'on est assailli de toute part. Il est peut-être judicieux d'envisager une réelle confrontation avec les tiers qui posent problème dans la vie éveillée.
Courir après un enfant : - ENFANT - C'est une forme de réparation intérieure si la course après l'enfant relève du jeu. On a à se réconcilier avec sa part enfantine ou sa part d'enfance.
©Nikolaï Bogdanov-Belski - 1868-1945
> Courir après lui parce qu'il est pénible, qu'il fait des bêtises, est préjudiciable. Signe que l'on se laisse débordé par des enfantillages, des sournoiseries.
Courir pour se détendre : - PAYSAGE - STADE - SAISON - Très favorable pour bénéficier soit d'un retournement de situation en sa faveur, soit pour accéder à ce que l'on voulait, soit pour faire aboutir un projet.
Une course sportive : - CHAMPION - C'est un sport individuel, cette course renvoie à sa propre solitude et son désir - puisqu'il y a course - d'en sortir. Quand on est seul à courir, les épreuves de vie se terminent sous peu. > Quand il y a des haies, par exemple le 110m haies, chaque haie figure un obstacle de la vie éveillée à surmonter. Il est préférable de s'être vu seul dans la course sans autre compétiteur. 
|