Voler et se voir atterrir : Atterrir dans un endroit moins agréable que celui d'où l'on a décollé présage une perte de choses agréables. > Inversement, atterrir dans un endroit très agréable et plus beau, ou plus confortable, que le lieu du décollage dit que l'on obtient réussite et satisfactions. > Pour celui qui atterrit sur quelque chose qui correspond à ses attentes, il l'obtient : par exemple, atterrir sur une maison, on peut espérer acquérir une nouvelle résidence ; sur l'eau, la mer, l'océan, on reçoit des richesses autant matérielles que spirituelles. Ceci a été constaté par les onirocritiques d'antan.
Se sentir atterrir - situation fréquente en H.V.- : Les espoirs conscients et matériels sont déçus surtout quand on a spéculé sur le soutien de tiers. En compensation, on se découvre des talents personnels. Le retour à une réalité très "terre-à-terre" est dur, c'est une demande de passer à l'action, et seul. Ennuis et remises en question en perspective.
Voir un avion atterrir : L'intensité de la déception reste identique à ce qui est écrit précédemment, à la nuance près qu'elle ne concerne qu'une seule préoccupation. Possible que l'on a peut-être placé toutes ses espérances dans un seul projet de vie. Est-ce le bon ? On a à se défier de l'aspect irréaliste de ses attentes. Quelques événements contrariants aident à la révision de ses objectifs.
Sully le film L'histoire du 'héros de l’Hudson' et du vol 1549 de l’US Airways
Un atterrissage accidentel ou forcé : Le cours de ses habitudes va être perturbé plus ou moins brutalement. On a à réviser ses objectifs de fond en comble de gré ou de force, et hélas, plutôt de force. On subit les événements et on a beaucoup de mal à se penser comme le créateur de sa vie.
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