 Goûter ou boire un produit amer rappelle que chacun peut nourrir de mauvaises pensées envers autrui, volontairement ou inconsciemment. Par extrapolation, l'amertume prévient d'un retour de bâton quand ses pensées sur autrui sont approximatives. Il est recommandé de ne fréquenter que des individus que l'on apprécie sincèrement pour la période à venir.
L'amertume, que l'on reconnaît au goût toujours après coup, prévient des apparences trompeuses. C'est aussi un appel à la vigilance pour ne pas se laisser gruger par des flatteries, par ce qui semble agréable au premier abord. Elle est symboliquement en relation avec la voix de la sagesse, avec l'honnêteté, avec ce qui est vrai. Car c'est elle, tel un baromètre, qui mesure la sincérité intérieure et qui permet que l'on réagisse pour réajustement de ses pensées et de ses sentiments.
Manger quelque chose doux qui devient amer ensuite : Quelle mauvaise surprise ! Il en est de même pour les semaines à venir. Grosses désillusions en perspective, amertume, chagrin. Peut-être quelques arrières-pensées nuisent à ses intérêts.
Manger quelques chose d'amer qui devient doux ensuite : C'est l'inverse de ce qui est écrit précédemment, avec en sus une information sur le fond de sa personnalité qui est une bonne, généreuse, loyale et fondamentalement intègre.
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©Amer - Besançon
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