 S'enrouler dans une couette, une couverture : COUVERTURE - FRIGORIFIER - Signe évident d'un manque de sécurité, d'un manque de confiance et d'un manque affectif.
> Se voir, ou le faire réellement dans la vie éveillée avant de s'endormir, s'enrouler dans une couverture, couette ou autre protection douillette, équivaut à vouloir retrouver le réconfort affectif de la prime enfance et qui fait tant défaut dans son vécu actuel. Trop de choses pénibles pèsent les épaules ; on espère secrètement que quelqu'un vienne en aide. Période de peines affectives, de solitude. On doit rester très vigilant pour que ses ressentiments, justifiés ou non, ne prennent pas le pas sur son désir d'épanouissement.
S'enrouler sur soi : On a peur et on est dans l'attente d'une catastrophe. Elle arrive rarement, mais celui qui a été éprouvé émotionnellement et psychiquement, et récemment, ne peut pas s'empêcher de faire le dos rond. Ses appréhensions sur des drames probables sont trop envahissantes dans son esprit, et ce sont justement elles qui vont alimenter les déceptions… surtout dans le domaine sentimental.
Enrouler un turban sur sa tête : TURBAN - Fin des ragots, d'après les Anciens.
Enrouler des objets dans un emballage: EMBALLER - EMPAQUETER - C'est le besoin de protéger son intimité qui est décrit ici. Y a-t-il des gens qui abusent autour de soi ? On est libéré par un événement positif et inattendu de son environnement habituel. Modifications de son comportement avec ses relations et des relations avec soi.
Enrouler des tapis, des draps, du tissu : TAPIS - … ou plier bagages ! On se prépare à traverser un conflit d'importance, rupture, peines, désillusions.., pour mieux rebondir et récupérer son enthousiasme d'antan.
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Bobi et Eglantine ©Pierre Probst
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