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©Yusuf Alioglu - photographe
 Se retrouver projeté dans l'Univers d'une manière ou d'une autre insiste sur un besoin urgent de régénérescence physique et psychologique. Ceci veut dire que l'on vient de traverser une période harassante qui a eu une incidence néfaste sur la vitalité, que l'on a atteint le point de saturation psychique. Après cette expérience onirique, très agréable au passage, les sens s'affinent et la conscience devient plus aiguë. L'acuité, la justesse de sa perception des situations, des gens, et des liens entre les événements et soi-même, sont amplifiées. On prend naturellement de la distance avec ses soucis, les petits comme les grands, avec les personnes de son entourage.
> Selon ce qu'il se passe dans l'univers, et ce que l'on y fait, (rencontrer d'autres personnes, se promener, découvrir des activités, voir des animaux fantastiques ou non, …), on collecte des informations précieuses pour la suite de son parcours.
©Bryan Larsen -1975-...
Gardons à l'esprit que tout ce qui est vécu, perçu ou vu de manière gigantesque en songe ou autre état modifié de conscience, est une invitation à se concentrer sur des éléments spécifiques de son existence ou de son histoire. Les dénouements effectifs, c'est-à-dire les solutions aux problèmes, se font assez tardivement, en temps quantitatif terrestre. Mais en attendant, on bénéficie d'une plus grande maturité. La perception des choses et des gens, les conceptions, profitent d'un grand coup de jeunesse, d’un renouvellement total. La santé est toujours retrouvée, ou améliorée, suite à ces promenades oniriques dans l'univers.
En revenir en douceur et sans chuter protège les entreprises, les projets, les relations. On est sensé avoir appris beaucoup sur soi et avoir acquis davantage de sagesse et de clairvoyance après ce voyage céleste. On appréhende les choses terrestres dans leur globalité, et non plus par le petit bout de la lorgnette. Positif donc !
Un contact avec l’univers ou l’espace dit que l'on parvient à ses fins, que les attentes et les espérances sont comblées, au final.
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