©Lionel Walden - 1861-1933
Entendre siffler fortement : Quand il se rapproche de la fonction du klaxon, c'est une alarme, donc un appel à la vigilance sur des événements à venir de la vie éveillée qui risque de surprendre.
Siffler une jolie fille : C'est très mal élevé. Quand on est un homme, c'est le signe de son incapacité à exprimer avec des mots ses émotions. > Quand on est une femme, être sifflée renvoie soit à des situations mal vécues avec les hommes, soit la scènette onirique veut faire comprendre à l'intéressée qu'elle possède quelques attraits et talents dont elle n'a pas peut-être pas conscience.... À creuser !
Siffler pour huer un Autre ou un spectacle : HUER - Signe de mécontentement. Pour l'interprétation, deux orientations sont possibles : > Quand on est celui ou celle qui a été sifflé, on reçoit quelques privilèges dans la vie éveillée. Il s'agit en effet d'un rêve à effets contraires. Reste à se souvenir ce qui a provoqué ces sifflements. > Quand on siffle un Autre ou un spectacle, c'est refuser d'autres modes de pensées que le sien. Conflits intérieurs en perspective, on va être contraint à s'adapter à de nouvelles données. Qui est cet Autre, quel est le spectacle ?
Siffloter : CHANTONNER - FREDONNER - Quand on se souvient de l'air - nom - musique - l'interprétation gagne en précision.
Un arbitre siffle une faute ou la mi-temps : ARBITRE - FOOT - BOXE - SPORT .... Le type de sport vu précise l'interprétation.
Être sifflé par un policier ou gendarme : POLICE - GENDARME - On est pris sur le fait. Il avertit en songe que l'on tend à glisser sur la mauvaise voie. Il est temps de se ressaisir dans la vie éveillée.
Le Sifflement d'une vipère : SERPENT - REPTILE - Grande alerte sur un danger imminent. On parle bien d'une "langue de vipère" à propos de celui ou celle qui médit, qui colporte, qui tue avec ses propos. Conflits relationnels sous peu. Agression possible, mais on a le dessus et on sort victorieux de ces déboires.
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