Demander quelque chose : On espère un réconfort affectif, pour compenser le manque, dans le climat lourd en mesquineries, en faux-semblants et en suspicions, dans lequel on évolue. Intérieurement, on sait que l'on a à quitter quelques unes de ses fréquentations pour être libre de trouver son monde, c'est-à-dire vivre avec des personnes fiables, sûres et dépourvues d'intérêts. "Qui ne demande rien n'a rien !", claironnait ma Grande Tante. Quand on est prêt à se prendre en charge et à agir, on obtient son nouveau monde. Il reste un sacrifice à consentir. Les renouvellements d'environnement impliquant toujours des ruptures, des séparations, des éloignements qui ne souffrent aucun compromis, la question est : se sent-on capable de changer du tout ou tout ?
Faire une demande, une sollicitation, une réclamation : Elle s'apparente à une démarche administrative. On est apparemment en attente d'un dénouement heureux d'une situation compliquée, mais hélas, elle se complique de plus en plus. Les démarches de la vie éveillée restent vaines et sans effet. Fatigue, surmenage.
Un Autre nous demande quelque chose : On a à se débattre, sous peu, avec des gens peu scrupuleux qui exigent beaucoup. À chacun de faire la part des choses avec les autres détails du scénario. > Pour celui qui s'est senti abattu, dépassé par la demande, qu'il sache éloigner les envahisseurs et les parasites dans son quotidien. > Quand la demande est clairement formulée, il s'agit d'une question que l'on avait occultée sur l'un de ses problèmes. On est en mesure de régler une situation, de trouver une solution par le principe que toute question contient sa réponse.
Demander pardon ou un soutien à Dieu promet de grandes gratifications. On est entendu quand la demande vient du cœur.
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